mardi 31 mars 2009
Sur le chemin du retour
Et bien voilà, ma seconde escapade prend fin demain. Je repars avec pleins d'envies pour entamer mon 2009 en France!
jeudi 26 mars 2009
Une journée au paradis
Dimanche 22 mars, pour fêter le printemps :-) nous avons participé à une sortie organisée par l’aéroclub de Grand Case : une journée aux îles vierges britanniques sur Anegada précisemment, paradis perdu (200 habitants pour 40 km²,point culminant à 8m, au centre le bush et des marais salants, le long, des plages sauvages au kilomètre).
Rendez vous à 8H à l’aéroclub pour petit déjeuner et finir les formalités de départ : pesée définissant qui part avec qui et dans quel avion (nous sommes 14 à nous répartir dans 4 avions), qui pilote, les plans de vol à déposer à la tour de contrôle, le plein, les casques, les sacs d’où dépassent serviettes de plages et tubas, checklist, et zou en piste !
Plus tard sur notre droite Sombrero et une heure plus tard, le turquoise de la barrière de corail des îles vierges annonce l’arrivée imminente sur Anegada. Le spectacle commence, no comment (cliquez sur les photos) :
Survole de l’endroit où nous irons nous baigner et nous restaurer.
Rendez vous à 8H à l’aéroclub pour petit déjeuner et finir les formalités de départ : pesée définissant qui part avec qui et dans quel avion (nous sommes 14 à nous répartir dans 4 avions), qui pilote, les plans de vol à déposer à la tour de contrôle, le plein, les casques, les sacs d’où dépassent serviettes de plages et tubas, checklist, et zou en piste !
Beau temps, peu de vent, survol de Tintamarre puis pointe sud d’Anguilla, nous longeons les îlets sauvages Prickly et Dog island
Plus tard sur notre droite Sombrero et une heure plus tard, le turquoise de la barrière de corail des îles vierges annonce l’arrivée imminente sur Anegada. Le spectacle commence, no comment (cliquez sur les photos) :
Survole de l’endroit où nous irons nous baigner et nous restaurer.
A l’aérodrome d’Anegada, nous remplissons les formulaires douaniers sur les genoux assis sur une chaise, les taxes sont réglées.
Notre super taxi groove kitsch nous attend, le safari démarre : rien que le bush à perte de vue…
.. nous croisons un animal sauvage :-)
Et pis la suite, sans image car notre appareil nous lâche, niet, plus un signe de vie, bouhhh, sgloup
En quelques mots, des dégradés de bleus magnifiques, l’eau transparente. Repas grillades locales, un poisson et des accras de lambi.
Des grains nous rejoignent en début d’après midi : des couleurs magnifiques, du blanc du sable au noir des nuages. Le soleil disparaît, dernière baignade sous la pluie, la journée file à toute vitesse, on repart déjà, ou presque. Un des avions ne pourra pas repartir, deux d’entre nous resterons la nuit sur Anegada en attendant l’équipe de secours du lendemain matin. Pour les autres, atterrissage au coucher de soleil sur Grand Case, la tête remplie de nature et de grands espaces. Encore un dernier coup de volant pour rejoindre notre home
Et pis la suite, sans image car notre appareil nous lâche, niet, plus un signe de vie, bouhhh, sgloup
En quelques mots, des dégradés de bleus magnifiques, l’eau transparente. Repas grillades locales, un poisson et des accras de lambi.
Des grains nous rejoignent en début d’après midi : des couleurs magnifiques, du blanc du sable au noir des nuages. Le soleil disparaît, dernière baignade sous la pluie, la journée file à toute vitesse, on repart déjà, ou presque. Un des avions ne pourra pas repartir, deux d’entre nous resterons la nuit sur Anegada en attendant l’équipe de secours du lendemain matin. Pour les autres, atterrissage au coucher de soleil sur Grand Case, la tête remplie de nature et de grands espaces. Encore un dernier coup de volant pour rejoindre notre home
vendredi 20 mars 2009
Chaud cacao
Trois jours à Anguilla
Manque de bol, veille du départ, alerte jaune, gros vent et mer forte en perspective … bouh, c’est pô juste!!?!!
Donc départ jour J, vendredi matin sous la pluie et ses gros nuages gris, … on en oubliera les phares de la voiture qui est restée parquée trois jours … bien sur jusqu’à épuisement de la batterie…
Bref, on embarque sur le mini ferry à Marigot, passeport à la main, direction Anguilla malgré la jolie houle qui commence à se former. On imagine la côte au vent, Shoal Bay où nous avons loué une chambre… pas cool, mais bon nous sommes contents d’aller voir enfin d’autres horizons, à deux pas de chez nous.
Anguilla est un plateau calcaire allongé dont la superficie est presque égale à celle de Saint Martin mais avec nettement moins de population, 13000 habitants (75000 sur SXM). Nous espérons bien pouvoir profiter de ses légendaires plages au sable fin et à l’eau turquoise. Cliquez ICI pour faire plus ample connaissance avec Anguilla.
Il ne fait pas très chaud avec tout ce vent, donc la rando s’impose. Pour le premier jour, nous faisons une petite expédition depuis Savanah Bay : côte sous le vent, complètement sauvage, quelques cocotiers rythmant la belle courbe de cette plage.
Marche sur le sable, puis vers Gibbon Point sur ces rochers particuliers où la végétation tente de ramper On stoppe avec la pluie juste avant Sile Bay pour un retour par les terres. Beaucoup d’embruns, ça saoule de nature, c’est bon!
Donc départ jour J, vendredi matin sous la pluie et ses gros nuages gris, … on en oubliera les phares de la voiture qui est restée parquée trois jours … bien sur jusqu’à épuisement de la batterie…
Bref, on embarque sur le mini ferry à Marigot, passeport à la main, direction Anguilla malgré la jolie houle qui commence à se former. On imagine la côte au vent, Shoal Bay où nous avons loué une chambre… pas cool, mais bon nous sommes contents d’aller voir enfin d’autres horizons, à deux pas de chez nous.
Anguilla est un plateau calcaire allongé dont la superficie est presque égale à celle de Saint Martin mais avec nettement moins de population, 13000 habitants (75000 sur SXM). Nous espérons bien pouvoir profiter de ses légendaires plages au sable fin et à l’eau turquoise. Cliquez ICI pour faire plus ample connaissance avec Anguilla.
A la sortie de l’embarcadère, après passage de la douane, nous louons une voiture : nous sommes dotés de la même voiture que nous utilisons à Saint Martin, une Terrios… mais avec la conduite à droite : les premiers kilomètres, nous nous concentrons tous les deux sur la route peu fréquentée heureusement, car ça fait tout drôle… surtout les rond points, on y tourne de gauche à droite, c’est très étrange ! Nous croisons un habitant qui, sur le bord de la route, brandit une magnifique daurade coryphène par la queue : vente à la drive’in !
Arrivée à l’hôtel Alamanda, du vent ininterrompu, les cocotiers tous de biais, comme sous l’action d’un sèche cheveux. La mer est déchaînée à Shoal Bay, d’énormes rouleaux démontent l’horizon, impossible de se baigner ici, les grills de plages et autre reggae bar sont presque tous fermés. Le sable fin et blanc agit comme du papier de verre sur nos chevilles… retour à la chambre pour élaborer notre plan B.
Il ne fait pas très chaud avec tout ce vent, donc la rando s’impose. Pour le premier jour, nous faisons une petite expédition depuis Savanah Bay : côte sous le vent, complètement sauvage, quelques cocotiers rythmant la belle courbe de cette plage.
Marche sur le sable, puis vers Gibbon Point sur ces rochers particuliers où la végétation tente de ramper On stoppe avec la pluie juste avant Sile Bay pour un retour par les terres. Beaucoup d’embruns, ça saoule de nature, c’est bon!
Le lendemain, le vent ne s’arrangeant pas, on prépare le pique nique et nous partons à l’assaut de la pointe nord aux allures et couleurs bizarres (vue du ciel 15 jours auparavant, des sentiers ocre rouge quadrillant la végétation, des côtes de roches noires…). Nous nous garons en haut d’une colline, après la dernière habitation, vue plongeante sur Captain’s Bay : l’océan Atlantique nous joue une féerie d’eaux magnifiques et certainement rarissime !
A travers la broussaille piquante et les rochers acérés, nous nous faufilons le long des falaises, on se sent tout petit fasse à un tel paysage lunaire et une telle agitation liquide et turquoise, on en prend plein les yeux.
Nous quittons un moment les falaises car le passage (escalade) nous paraît trop difficile par ce temps. Nous voici sur les pistes rouges, ce qui nous permet de rencontrer les premières colonies de Mélocactus Intortus (cactus en forme de melon) dit « tête à l’anglais »…
Retour sur les falaises avec toujours le même spectacle puis arrêt pique nique sous l’unique arbre de cette partie de l’île. Entre deux nuages, le soleil tape fort, vous prendrez quoi comme dessert ? Crème solaire siouplaît !
Le début d’après midi est consacré à la découverte de Windward Point. La végétation nous montre que cette pointe est tout le temps battue par les vents, d’un côté les falaises où s’éclatent la houle, de l’autre une petite plage aux couleurs dégradées (vert jaune, vert d’eau, bleu ciel, bleu turquoise, bleu pétrole…), au centre une sorte de tumulus où s’accroche une ribambelle de cactus à tête poilue et rouge : j’imagine quelque petit peuple de lutins qui dévale la pente vers nous en se dandinant!
Nous montons la colline rase pour voir le point de vue à 360°, vue sur Scrub island et Saint Martin, le sud d’Anguilla.
Puis retour à la voiture, un saut à Savanah bay pour se délasser, le soir resto à la table du Zara’s avec son chef rasta chantonnant depuis ses fourneaux.
A travers la broussaille piquante et les rochers acérés, nous nous faufilons le long des falaises, on se sent tout petit fasse à un tel paysage lunaire et une telle agitation liquide et turquoise, on en prend plein les yeux.
Nous quittons un moment les falaises car le passage (escalade) nous paraît trop difficile par ce temps. Nous voici sur les pistes rouges, ce qui nous permet de rencontrer les premières colonies de Mélocactus Intortus (cactus en forme de melon) dit « tête à l’anglais »…
Retour sur les falaises avec toujours le même spectacle puis arrêt pique nique sous l’unique arbre de cette partie de l’île. Entre deux nuages, le soleil tape fort, vous prendrez quoi comme dessert ? Crème solaire siouplaît !
Le début d’après midi est consacré à la découverte de Windward Point. La végétation nous montre que cette pointe est tout le temps battue par les vents, d’un côté les falaises où s’éclatent la houle, de l’autre une petite plage aux couleurs dégradées (vert jaune, vert d’eau, bleu ciel, bleu turquoise, bleu pétrole…), au centre une sorte de tumulus où s’accroche une ribambelle de cactus à tête poilue et rouge : j’imagine quelque petit peuple de lutins qui dévale la pente vers nous en se dandinant!
Puis retour à la voiture, un saut à Savanah bay pour se délasser, le soir resto à la table du Zara’s avec son chef rasta chantonnant depuis ses fourneaux.
Le lendemain, c’est notre dernière journée sur Anguilla, nous rendons les clefs de la chambre pour filer découvrir un peu le sud de l’île. On démarre par les pistes non goudronnées du sud de Shoal Bay, falaises ponctuées de chantiers de futurs hôtels avec spa ou de villas de luxe. Puis nous filons sur Limestone Bay, Little Bay et Crocus bay, cette route est une splendeur de panoramas, des couleurs hallucinantes, un paysage différent et paradisiaque.
On descend toujours vers la pointe Sud, Sandy Ground vue des falaises, Meads bay un peu trop pleine d’hôtels cinq étoiles, c’est le coin, jusqu’à Shoal bay west. Nous avons du mal à trouver un petit resto ouvert ce dimanche midi… Finalement, après un parcours du combattant des grills de plage, nous trouvons un endroit parfait et accueillant à Cove Bay.
Nous dégustons un bon poisson grillée et des rib’s chez Smockey’s toujours au rythme du reggae, c’est parfait, vue sur une baignoire turquoise qu’on ne manquera pas d’essayer avant de repartir au port d’embarcation.
Saint Martin et ses hauteurs sont face à nous, 20 minutes de ferry et nous posons à nouveau les pieds à Marigot.
Saint Martin et ses hauteurs sont face à nous, 20 minutes de ferry et nous posons à nouveau les pieds à Marigot.
lundi 9 mars 2009
Vues du ciel
Ca y est, j’ai fait mon baptême de l’air en avion quatre places, un rutilant Piper PA28 , mon « homme » aux commandes , son instructeur à ses côtés, pour une petite navigation d’une heure, direction « Sombrero », un rocher perdu dans l’atlantique avec passage au dessus de la « belle anguille », ses petits îlets et ses langues de sables trempant dans l’eau turquoise !
Embarquement immédiat depuis la piste de Grand Case, attachez votre ceinture, mettez votre casque et vérifiez que vous ayez bien votre gilet de sauvetage et votre radeau de survie .
Tout de suite et à 180°, Saint Martin se dévoile autrement :
à ma droite Orient Bay,
Le temps est un peu mitigé mais c’est sympa de côtoyer les nuages.
Sandy island, Prickly Pear, Dog island se succèdent avant de ne plus voir de terre.
Embarquement immédiat depuis la piste de Grand Case, attachez votre ceinture, mettez votre casque et vérifiez que vous ayez bien votre gilet de sauvetage et votre radeau de survie .
Tout de suite et à 180°, Saint Martin se dévoile autrement :
à ma droite Orient Bay,
à ma gauche Cul de sac et l’ilet Pinel,
montée vers Scrub island avec simulation d’atterrissage sur l’ancienne piste.
Nous longeons la plate Anguilla avec au loin les montagnes de Saint Martin.
Le temps est un peu mitigé mais c’est sympa de côtoyer les nuages.
Sandy island, Prickly Pear, Dog island se succèdent avant de ne plus voir de terre.
Cap sur Sombrero, perdu, sec et solide, un bâtiment désaffecté planté dessus, on se demande pourquoi, comment… c’est un phare qui a été habité jusqu’en 2002… Sombrero est un des points les plus au Nord des Antilles.
Au-delà, le triangle des Bermudes, des kilomètres et des mètres cubes d’eau sans rien, enfin presque puisque sur le retour, la nature nous fit cadeau de quelques minutes fantastiques : des baleines à bosses affleurant l’eau, s’ébattant là en dessous de nous, avec leurs majestueuses nageoires blanches. Je n’ai pas pris de photos tellement j’étais subjuguée par le spectacle : un lien avec des images de cette baleine.
Retour par Anguilla et ses éblouissantes plages turquoises,
Touché sur la piste de « Walblake » “ november four five four, clear for landing”
Enfin, direction Saint Martin, là entre deux montagnes la piste nous attend.
Les Antilles vu de dessus, on en prend plein les yeux !
Retour par Anguilla et ses éblouissantes plages turquoises,
Touché sur la piste de « Walblake » “ november four five four, clear for landing”
Enfin, direction Saint Martin, là entre deux montagnes la piste nous attend.
Survol du village de Grand Case et hop on se pose comme une fleur car exceptionnellement pas de vent tourbillonnant, ouf !
Les Antilles vu de dessus, on en prend plein les yeux !
Coussins en 3D
Les derniers nés en volumes de l’atelier Baolin, yapluka dupliquer maintenant !
Ils font environ 35 cm de hauteur. Je prépare une autre série dans les tons orange / chocolat/ rouge pour une série avec plus de pep’s!
En prime, Jaujo qui me tient compagnie au pied de ma machine à coudre, l’est pas belle la vie de chat ?
Ils font environ 35 cm de hauteur. Je prépare une autre série dans les tons orange / chocolat/ rouge pour une série avec plus de pep’s!
En prime, Jaujo qui me tient compagnie au pied de ma machine à coudre, l’est pas belle la vie de chat ?
Poivrons améthystes
Une découverte au jardin rastafari, ce petit poivron violet, croisement réussit entre un poivron et une aubergine, pas plus gros qu’un citron, un vrai délice cru ou cuit. La chair est plus souple qu’un poivron classique et le goût plus subtil ni sucré comme le rouge ni amer comme le vert mais doux comme une aubergine (cuit il a un petit goût de champignon), il se faufile dans de nombreux plats. J’ai fait sécher des graines pour tenter de les semer en France, dans vos jardins... parce que pour l’instant j’en ai pô !
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