Entre deux photos, je passe aussi du temps avec ma machine et mes ciseaux. Ma première série textile est des ceintures larges et réversibles à porter sur les hanches.
Suite à un projet (qui n’a pas encore été mis à exécution) avec mon amie textilienne Céline de l’Atelier Traversant où nous avons décidé de tenter un challenge pour créer à quatre mains des ceintures japonaises (chacune démarre la moitié de la déco de la ceinture, se l’échange, puis continue la composition de l’autre), j’ai tellement aimé ce format que j’en ai fait une petite série 100% Baolin.
Et puis, le dernier prototype en cours sortie vendredi de l’atelier (pas tout à fait fini), là au second plan, Jaujo volerait-il la vedette ? En passant, je vous informe qu’il (l’affreux Jaujo) squatte le canapé tous les après midi comme un pacha , vient en soirée pour squatter le tapis de la chambre afin qu’ on le fasse jouer avec son « lacet-lézard » préféré, je me roule, je saute, je fais de la spéléo sous le lit: môsieur a ses petites habitudes maintenant :-)
samedi 14 février 2009
Ca chauffe toujours au labo
Jours de mauvais temps
Jeu set et match
Lydie, cet article t’es spécialement dédié : nous avons investit dans le modèle dernier cris d’Insect Killer, rechargeable, plus léger donc plus maniable, avec lampe intégrée (pour chasser les bestioles dans le noir, si j’te jure) et comme l’étiquette l’indique tous les insectes trépassent avec cette « rocket raquette ». A emmener partout, je me suis marrée rien qu’en lisant le blister. Mosquito, la guerre est déclarée ! Alors j’t’en ramène une ?
dimanche 1 février 2009
Mes premières expériences de rhum arrangé
Et ben voilà, j’ai mis mon tablier de petit chimiste antillais et je ne l’ai pas regretté : premier essai avec un rhum fruit de la passion, fruité et aromatisé à souhait après une courte semaine d’attente, rhum du Père Labat (notre préféré) et sucre de canne, fruit frais de la passion et un petit bout de gousse de vanille pour faire du petit lait caraïbe ! Puis j’ai osé l’impensable, le sirupeux et parfumé rhum gingembre cardamome vanille zestes de citron, une cuillère de miel avec le sucre de canne pour finir par une bonne couche de rhum blanc agricole. Quelques jours de patience pour voir les premières transformations, le passage au jaune ambré qui nous rappelle les belles couleurs de nos Sauternes et autres Loupiac, et les premières effluves prometteuses ! Chauffe chauffe apéro, le soleil se couche et le bon rhum prend la relève !
Mes dernières expériences culinaires
Les pois d’angole, sortes de petits pois, mais plus difficile à écosser
La papaye verte (c'est-à-dire blanche à l’intérieur), j’ai essayé deux manières différentes. La première en gratin (façon créole) : éplucher et sortir les graines, couper en morceaux et faire blanchir. Ecraser en purée et ajoute de l’oignon, ail, thym, cive préalablement revenus, un peu de farine et finir gratiné au four avec chapelure et un peu de fromage râpé.
La seconde en cari : faire revenir de l’oignon, de l’ail et du gingembre, ajouter le piment et le cari (en l’occurrence j’ai mis des épices à Colombo). Ensuite ajouter du lait de coco et un peu d’eau et y jeter les dés de papaye verte épluchée. Faire mijoter et mijoter (45’). Avant de servir, rajouter un peu de jus de citron vert. Je l’ai accompagné de riz et de pilons de poulet bien frits, préalablement marinés dans du jus de citron vert, du paprika et de l’ail.
La papaye verte (c'est-à-dire blanche à l’intérieur), j’ai essayé deux manières différentes. La première en gratin (façon créole) : éplucher et sortir les graines, couper en morceaux et faire blanchir. Ecraser en purée et ajoute de l’oignon, ail, thym, cive préalablement revenus, un peu de farine et finir gratiné au four avec chapelure et un peu de fromage râpé.
La seconde en cari : faire revenir de l’oignon, de l’ail et du gingembre, ajouter le piment et le cari (en l’occurrence j’ai mis des épices à Colombo). Ensuite ajouter du lait de coco et un peu d’eau et y jeter les dés de papaye verte épluchée. Faire mijoter et mijoter (45’). Avant de servir, rajouter un peu de jus de citron vert. Je l’ai accompagné de riz et de pilons de poulet bien frits, préalablement marinés dans du jus de citron vert, du paprika et de l’ail.
Quand à la surprenante patate douce, mon meilleur résultat fût avec la soupe miam miam épicée : faire revenir de l’oignon, ajouter ail, gingembre et curry et faire encore revenir une minute avant d’y jeter les morceaux de patate douce épluchés, les retourner et ajouter du bouillon de poule afin de faire cuire à couvert pendant une vingtaine de minute. A la fin, mixer, ajouter du lait de coco et un peu de coriandre fraîche, rectifier l’assaisonnement et régalez vous !
Inscription à :
Articles (Atom)